Déjà une semaine nous sépare du précédent Hebdo MAF. Il était temps que le nouveau paraisse !
Au programme digital de cette semaine, la plus haute tour en bois d’Europe, la MAF qui affiche son soutien contre la loi ELAN, les dossiers chauds qui vont accompagner le congrès des bailleurs sociaux à Marseille, et la nouvelle réalisation de l’agence DVVD.
En print, nous vous présentons un dossier paru dans le numéro 59 d’Ecologik sur le thème : quelles mutations devront anticiper les villes pour accompagner le vieillissement de la population ?

Il est tout beau, tout chaud et tout dispo, c’est parti pour l’hebdo MAF 34 !
MAF Assurance

Les titres de chaque paragraphe sont cliquables pour vous proposer l’article original.

 

En Norvège, une tour de bois bientôt debout

Du haut de ses 84.5 mètres, la tour de Mjos, dont l’inauguration est prévue pour mars 2019 sera la plus haute construction en bois du monde. Parmi les avantages que présente une telle réalisation, la réduction des émissions de CO2 est en haut de la liste : « construire en bois, c’est aider à respirer dans un monde meilleur » selon Arthur Buchardt, à l’origine du projet.

L’édifice réalisé en épaisses poutres de bois lamellé-collé accueillera des appartements, une piscine intérieure, un hôtel, des bureaux, un restaurant et des espaces communs.

 

La MAF aux côtés des architectes contre le projet de Loi ELAN

Dans une tribune publiée sur le site lemoniteur.fr, Jean-Claude Martinez, président de la MAF, évoque les dangers que le projet de loi ELAN fait courir au logement des Français en sortant les architectes de la réflexion autour de la conception et de la réalisation.

Pointant du doigt l’ambition affichée du gouvernement, Jean-Claude Martinez en profite pour rappeler que le chantier est un chapitre essentiel de la création architecturale. Interface de rencontre entre les concepteurs et les entreprises, une mise à l’épreuve qui nourrit la créativité et un espace d’innovation. Construire plus, mieux et moins cher : à quel moment le gouvernement a-t-il considéré que les architectes ne concourraient pas à ces objectifs ?

 

A la veille de leur Congrès, les bailleurs sociaux multiplient les dossiers épineux

Réduction des coûts d’un milliard et demi d’euros par an via la réduction des loyers demandée par l’exécutif, augmentation du nombre de logements afin de trouver une solution au million et demi de demandes de logements sociaux restées sans réponse, multiplication par 5 du nombre de logements vendus sur le parc HLM afin de relancer l’investissement dans la construction alors que celui imprime une baisse constante.

Voilà, résumées en quelques lignes toutes les difficultés qui pèsent sur les épaules des bailleurs sociaux à la veille de leur congrès prévu à Marseille début octobre. Dans cette mêlée d’intérêts croisés et parfois divergents, Jacques Mézard, ministre de la cohésion des territoires, devra mettre tout le monde dans le sens de la marche pour tenir la feuille de route.

 

Une nouvelle ch’tite passerelle pour Saint-Omer

Dans la ville de Saint-Omer (62), l’agence DVVD vient de livrer une passerelle enjambant le canal de Neuffossé. Répondant à la triple exigence de créer un franchissement discret, accessible à tous et permettant la navigation, l’agence propose une réalisation à la croisée des chemins entre architecture et ingénierie.

La passerelle, mesurant 50 mètres de long, a été conçue pour s’intégrer parfaitement dans son environnement. Discrète pour ne pas faire d’ombre à l’architecture typique des quais du canal, jalonnés de maisons de briques du 19e siècle, la passerelle a été voulue comme un trait d’union simple et raffiné entre le centre-ville et la gare.

 

L’actualité de l’architecture ne se lit pas qu’en lettres digitales. Désormais, nous vous proposons un article parmi les revues du secteur.

MAF AssurancesEcologik ouvre la réflexion sur la construction d’une ville mieux pensée pour nos ainés

Dans le numéro trimestriel d’Ecologik, magazine d’architecture et d’urbanisme écoresponsables, un dossier nous invite à réfléchir sur les enjeux pour les villes d’une population vieillissante. C’est un fait démographique avant d’être une question architecturale : en 2060, un tiers de la population française aura plus de 60 ans.

Mobilité, évolutions des milieux de vie, intégration dans la vie active de la ville, lutte contre l’isolement … Ces enjeux qui attendent la ville de demain doivent trouver des réponses dès aujourd’hui. Randonnées urbaines, espaces de convivialité, résidences intergénérationnelles, les pistes exploitées sont nombreuses et l’architecte a sa place à jouer sur des problématiques qui toucheront tout le monde sans exception.

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